La bibliothèque et le bureau de Tudor Vianu représentaient les repères d’une jeunesse vécue sous la dictature communiste. Lieu de rencontre, de quête de soi, maison de l’amitié, la demeure des Vianu conserve encore les souvenirs de cette société secrète solidaire — « un pont de mots au-dessus de l’abîme de l’oubli ». A la chute du communisme, c’est la maison qui vit les retrouvailles de Ion Vianu et Matei Calinescu.