Avant chaque rencontre, il y a un regard. La Jeune paysanne de Grigorescu n’est pas seulement un visage : c’est une invitation au commencement, à l’ouverture. Plus vous regardez attentivement, plus vous réalisez à quel point une rencontre peut être inattendue, comment elle surgit et nous arrache à notre propre univers.
La Jeune paysanne nous rappelle que toute rencontre commence par un regard, par un moment d’attention, par la volonté de voir et d’être vu. Vous vous tenez dans l’antichambre de toutes les rencontres possibles : laissez l’empressement derrière vous et ouvrez-vous aux possibilités imprévues.