Au printemps 1993, Irina Nicolau et Horia Bernea préparent la salle pour l’exposition « La Croix ». Dans un silence chargé de sens, chaque objet est soigneusement placé, et la croix devient le centre d’une histoire de foi, de souffrance et d’espérance. Entre eux, le dialogue est simple, mais profond : « La croix est partout », dit Irina, tandis que Bernea observe attentivement, cherchant la beauté cachée dans chaque détail. Le musée prend vie, lieu où la tradition et l’âme se rencontrent.